Prenons un moment pour plonger dans une œuvre d’une profondeur et d’une émotion remarquables.
Aujourd’hui, je vous propose de redécouvrir Johann Sebastian Bach à travers une transcription pour piano qui sublime l’Andante de la Sonate pour orgue n°4, BWV 528.
Bach est souvent associé à une écriture lumineuse, précise, presque architecturale. Pourtant, dans cette transcription signée August Stradal, le piano devient un vecteur d’introspection.
L’Andante, qui pourrait passer pour un simple mouvement intermédiaire dans sa version originale pour orgue, prend ici une ampleur inattendue.
Ce morceau nous plonge dans une émotion plus grave, plus introspective. La profondeur émotionnelle que le piano apporte nous rappelle à quel point les œuvres de Bach peuvent se réinventer, touchant l’âme différemment selon l’instrument.
Cette interprétation est magnifiée par le talent du pianiste islandais Víkingur Ólafsson. Né à Reykjavík en 1984, Ólafsson a étudié à la Juilliard School de New York, où il a obtenu une licence et une maîtrise sous la supervision de Jerome Lowenthal et de Robert McDonald.
Reconnu pour sa profonde musicalité et ses programmes visionnaires, il a collaboré avec des orchestres prestigieux tels que le Philharmonia Orchestra, le New York Philharmonic et le Berlin Philharmonic.
Ses enregistrements pour Deutsche Grammophon ont été salués par la critique, avec près d’un milliard de streams, et ont reçu de nombreux prix, dont l’Album de l’année aux BBC Music Magazine Awards en 2019 pour son interprétation de Bach.
Plongez dans cette œuvre grâce aux liens suivants :
Installez-vous confortablement, fermez les yeux, et laissez-vous emporter par cette interprétation unique.
La partition est ici : Sonate pour orgue PDF
N’hésitez pas à partager vos impressions en commentaire. Je serais ravie de connaître votre ressenti et d’échanger avec vous autour de cette merveille de Bach.
Prenons un moment pour plonger dans une œuvre d’une profondeur et d’une émotion remarquables.
Aujourd’hui, je vous propose de redécouvrir Johann Sebastian Bach à travers une transcription pour piano qui sublime l’Andante de la Sonate pour orgue n°4, BWV 528.
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10 réponses
Merci Aurélie pour ce cadeau magnifique qui m’a ému par sa douceur et sa profondeur. Les yeux fermés j’imagine des scènes remplies de poésie.
Serge
Merci Aurélie. C’est très beau. J’ai ressenti essentiellement de la profondeur, de la profondeur intérieure, sans tristesse, car aussi avec de la clarté. J’ai essayé de reconnaître l’orgue sous le piano, mais n’y suis pas toujours parvenue. Mais peu importe !
Marie-Hélène
Chère Marie-Hélène,
Merci beaucoup pour votre retour sensible et détaillé. Je suis ravie que cette interprétation de Bach vous ait touchée par sa profondeur et sa clarté. Au plaisir de partager d’autres moments musicaux avec vous.
Bien à vous,
Aurélie
J’ai ressentis une énorme émotion en l’écoutant car c’est une œuvre absolument magnifique .
Merci pour cette découverte .
Quel niveau faut il avoir pour l’interpréter ?
C’est un morceau divin qui arrive à m’emporte complètement et je me sens m’envoler dans une mer de nuages ouatés.
Sa simplicité apparente en fait sa grande beauté .
Chère Sylvie,
Merci infiniment pour votre retour touchant. Je suis ravie que cette œuvre vous ait procuré une telle émotion.
Concernant le niveau requis pour interpréter cet Andante de la Sonate pour orgue n°4, BWV 528, la transcription pour piano est généralement classée au niveau avancé. Elle demande une maîtrise technique et une sensibilité musicale pour en exprimer toute la profondeur.
Bien à vous,
Merci Aurélie de ce beau cadeau.!
Je me voyais marcher tout doucement dans la forêt, rencontrant des éclaircies lumineuses.
Chère Angela,
Merci infiniment pour ton retour. Je suis ravie que cette œuvre t’ait touchée. La musique a ce pouvoir de nous transporter et de nourrir notre imagination. Au plaisir de partager d’autres moments musicaux.
Bien à toi,
Aurélie
C’est très délicat, profond, clair. Je vois l’insouciance de l’enfance… courir dans les herbes hautes et des rires caressés par les rayons du soleil… une maman qui sert son enfant tendrement.. c’est ce que je vois dans cette douce et mélancolique romance… merci Aurélie pour ce partage. Sissi.
Chère Sissi,
Merci infiniment pour ton retour si poétique et touchant. Je suis ravie que cette œuvre t’ait évoqué des images aussi tendres et lumineuses. Au plaisir de partager d’autres moments musicaux.
Bien à toi,
Aurélie
Merci Aurélie, Quand j’étais au collège, le professeur de musique nous faisait écouter de la musique de toute sorte et nous devions fermer les yeux et la ressentir, nous devions faire virevolter notre imagination sur les mesures du morceau et décrire ce que nous éprouvions et ce que nous imaginions voir… j’adorais cet exercice… bon week-end Aurélie. Sissi.