Enfant prodige : L’autre visage de la réussite précoce
Les enfants prodiges fascinent, surtout lorsqu’ils excellent en musique. Leur talent, leur maîtrise technique et leur précocité épatent et inspirent. Mais derrière cette performance se cache souvent une autre réalité, moins abordée mais tout aussi importante. Aujourd’hui, je souhaite explorer le sujet des enfants prodiges en musique, un sujet complexe qui révèle les défis autant que les merveilles d’une telle réussite précoce.
16 Responses
Bonjour Aurélie,
C’est sympa de te retrouver dans cette vidéo que tu viens d’envoyer; j’adore ce que tu joues entre deux explications, est- une nouvelle impro? ( La main droite joue de très jolies choses, sur l’accompagnement de la main gauche…)
Bon! je suis tentée de m’inscrire à votre cours, mais pourrait on en reparler de vive voix? (Tu as mes coordonnées tel.)
Alors, à bientôt, j’espère, et bravo à vous deux pour votre travail formidable!
Jacqueline.
Bonjour Jacqueline,
je joue une impro sur une romanesca, j’ai fait un article à ce sujet sur le blog : https://1piano1blog.com/improvisation-au-piano/
Pour les cours je serais ravie de t’y retrouver. Je t’en dis davantage bientôt 🙂
C’est très intéressant la réflexion à propos du manque d’une personne capable de vous aider à faire la relation entre la théorie du solfège et la pratique sur le clavier. C’est justement ce que je me propose de faire pour les gens habitant à Angers. Donc n’hésitez pas à me contacter en passant par l’annonce que j’ai déposée sur superprof.
J’ai également déposé mon annonce ici :
http://parlonspiano.com/petite-annonce/1137/professeur-de-soutien-en-solfege
Merci Aurélie pour tout ce que tu m’as apporté……
Avec plaisir Guislaine 🙂
Bonjour Aurélie,
Encore une très bonne vidéo,bravo. Le témoignage de Guislaine est dès plus intéressant grand bravo à elle pour sa prestation.
Personnellement, je suis un nouveau retraité (61 ans) et depuis 2 Ou 3 mois j’ai commencé à réaliser un rêve d’enfant jouer du piano. Pour l’instant en autodidacte, mais je pense qu’au mois de septembre je prendrai des leçons pour progresser.
Contrairement à Guislaine je n’ai jamais eu peur de l’instrument, les rares fois où j’allais chez une cousine qui possédait un piano, il fallait que j’aille tapoter sur les touches blanches te noires. Mais quel bonheur au hasard de ces tapotements d’entendre un début de mélodie connue, d’essayer de trouver la suite et parfois d’y arriver que du bonheur. Je me demande quel autre instrument se laisse faire aussi facilement,comme un bon gros toutou que l’on caresse sous le cou. Bon après cela se complique c’est un instrument de musique tout de même il se mérite.
Le solfège il ne faut pas en avoir les toutes premières bases nécessaires ne sont pas si compliquées, on n’a pas besoin de connaître toute la grammaire française pour lire du Victor Hugo,alors !!!
J’espère ne pas avoir dit trop de bêtises bonne journée à tous
Merci Alain pour ton message 🙂
Bravo Aurélie et super bravo à Guislaine de nous avoir fait partager ce moment très sympathique au piano. Je me retrouve en elle, c’est indéniable. Moi aussi je n’aurais jamais pensé en commençant le piano que j’en jouerais encore aujourd’hui.
Je vais commencer ma sixième année. je n’en n’avais jamais joué auparavant. J’ai
74 ans et je suis accro maintenant. C’est devenu une vraie passion. Merci à vous deux, c’est très encourageant de savoir que quelque part il existe des gens comme nous qui savourent la même passion. A bientôt pour les prochaines vidéos.
Dany.
Au plaisir Dany 🙂
très intéressant ce parcours – je me suis remis seule au piano à (j’ose à peine le dire) 70 ans. j’ai eu des cours durant à peine une petite année lorsque j’avais 10 ans (donc très vieux avec quelque bases de notes en clef de sol – c’est très lointain et flou)
donc clavier électronique et méthode + reprise théorique des bases de solfège, maintenant depuis environ 2 ans- J’ai quand même bien progressé surtout sur le déchiffrage mais je suis dans une période de stagnation – je n’arrive pas à jouer « librement » (je veux dire savoir un morceau correctement complet) je pense que j’ai du mal à acquérir les réflexes techniques qui me libéreraient pour une bonne interprétation. (peut être que j’intellectualise trop l’apprentissage et en plus j’ai pas une super mémoire) j’ai appris beaucoup de morceaux et je n’en sais aucun correctement – Je crois avoir besoin d’un prof pour me dire comment poursuivre car pour l’instant je me sens plutôt frustrée –
Quels conseils pourriez vous me donner ? Merci
Bonjour Marie Christine,
en effet je crois que vous avez besoin d’un prof.
C’est vraiment super d’avoir repris le piano pendant ces 2 années toute seule. Maintenant il faut trouver quelqu’un pour avoir les meilleurs conseils pour continuer à progresser.
Hello Aurélie. Très heureuse d’avoir de tes nouvelles. Le message de Guislaine,
je ne peux pas le lire. Il y a de noté : 500 Internal Server Error. Il y a des lettres, chiffres, lettres, chiffres, etc… on dirait du chinois ou autre, etc…
Dommage, j’aurais pourtant voulu le connaître ce message. Peut-être que tu peux voir à y remédier ?
Mes meilleures pensées sont pour toi Aurélie. Je ne t’oublie pas.
Dany.
Bonjour Dany
merci pour ton message. Je pense que tu peux le lire maintenant 🙂
Bonjour, je viens d’écouter le témoignage de Guislaine que j’ai trouvé très intéressant et me conforte dans mes pensées.
J’aimerais connaître le nom du morceau qu’elle joue, afin de me procurer la partition.
Merci de votre retour
Bonjour Pat,
Guislaine joue l’adagio d’Albinoni.
La partition est tirée du 2e volume de la méthode de piano de Chritophe Astié : j’apprends le piano tout simplement (volume 2)