Voici une nouvelle vidéo, dans laquelle je vous propose de découvrir la valse de la « Belle au Bois Dormant » de Tchaikosky.
Toutes les musiques sont construites sur une échelle sonore prédéterminée. En fonction de l’échelle utilisée, nous avons des notes naturelles ou bien des notes altérées. Le plus habituel est d’avoir un mélange de notes naturelles et de notes altérées.
Captiver l’audience et susciter des émotions authentiques dans une performance pianistique requiert bien plus que la simple maîtrise des notes. Jouer avec des nuances musicales est une compétence essentielle qui permet d’ajouter profondeur et expression à chaque morceau. Dans cet article, nous explorerons pourquoi jouer les nuances est si crucial, ce qu’il ne faut pas confondre avec les nuances, ce qu’elles représentent, comment les jouer au piano. Et finalement, je te lancerais un défi pour appliquer ces concepts dans ta propre pratique musicale
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10 Responses
Meraviglioso!!!! Lei è dolce e bravissima!
Merci 🙂
Merci pour ce bel extrait, qui,me rappelle mes années de petit rat 🙂
La partition est elle celle de H G Heumann, arrangement pour piano aux editions H. Lemoine ? Nous aimerions la jouer à la maison 😉
Bonjour Stéphanie, voici les références de cet arrangement :
La belle au bois dormant, la musique en image, piano facile
Raconté par Catherine Storr, illustration de Julek Heller
Musique : TCHAIKOVSKY Petr Ilitch
Editions Van de Velde.
Je vous souhaite beaucoup de plaisir pour jouer cette partition 🙂
Plein de souvenirs d’enfance avec cette jolie valse : le film mais aussi mes répét de petit rat de l’école de danse.
Je vais essayer de la jouer !
39 ième morceau, bravo pour ta belle ténacité ! Je continue à te suivre.
Nathalie
Merci Nathalie.
C’est vrai que « la belle au bois dormant » est avant tout un ballet.
Merci pour cette jolie valse que j’adore !
Cette valse est vraiment très belle. Merci Serge pour ton commentaire enthousiaste.
Quoi de mieux pour se réveiller un dimanche matin ?
Merci Ma Pomme ! En effet, c’est agréable d’écouter Tchaikovsky le matin au réveil.
Ca change de Bach, n’est-ce pas ?