Sonate pour orgue n°4, BWV 528 : II. Andante [Adagio]
Prenons un moment pour plonger dans une œuvre d’une profondeur et d’une émotion remarquables.
Aujourd’hui, je vous propose de redécouvrir Johann Sebastian Bach à travers une transcription pour piano qui sublime l’Andante de la Sonate pour orgue n°4, BWV 528.
12 réponses
bonjour, ma fille adorerait jouer ce morceau, pouvez vous m’en dire plus afin de lui trouver la partition. Merci par avance et bravo pour tout ce que vous partagez 🙂
Bonjour Stéphanie,
j’ai ajouté dans l’article la référence de la partition.
A bientôt !
Je ne mettais pas ta parole en doute… Mais tu as raison, je n’avais pas fait attention à l’Andante pour flûte et orchestre. J’ai mal triché, en somme.
Bon, c’est vrai que j’ai essayé de tricher un peu…avec Wikipedia, qui dit que Mozart a composé cet Andante en 1778. Etant donné qu’il est né 1756 : 1778-1756=22. Bon, tant pis…
Wikipedia présente L’Andante pour flûte et orchestre composé en 1778. Mais ici il s’agit de l’Andante pour piano composé le 14 octobre 1763. Donc 1763-1756=7 !
Il faut dire que j’avais donné très peu d’indices et que Mozart a composé des centaines d’Andante.
Superbe Aurélie !
Pas de doute Mozart emballe avec peu de notes. A chaque fois je suis sous le charme.
J’en connais une qui souhaite savoir le titre pour tenter de le jouer (aussi bien).
Continue à nous enchanter.
Bravo pour cette première moitié ! Dans cette basse d’Alberti, il me semble reconnaître ce genre d’accompagnement qu’utilisent souvent les élèves de la méthode Colin…
Sinon, Mozart a composé cet andante à l’âge de 22 ans, non ?
Bon courage pour la seconde moitié, Aurélie !!!
La basse d’Alberti est vraiment très répandue…. on la retrouve partout.
22 ans…. c’est beaucoup trop !
Mozart était âgé de 7 ans lorsqu’il a composé cette pièce !
C’est tout le génie de Mozart !
Aïe aïe aïe les basses d’Alberti ! Ça me fait horreur quand je dois déchiffrer ! Encore chez Mozart, il a l’art et la manière de l’utiliser, mais je déteste particulièrement Clementi pour ça !
Tiens, c’est drôle tu es le premier à me dire ça !
Oui parce que généralement, on ne sait plus où on en est et à quel moment la basse change. Quand je lis des kilomètres de sol ré si ré sol ré si ré, je suis obligé de compter les mesures pour voir à quel moment a lieu le changement pour faire correspondre la main droite. Parfois c’est logique, mais parfois, je trouve qu’on s’y perd. Et puis esthétiquement, je trouve ça assez insupportable et je déteste Clementi !
Comme ça c’est dit !